Dans ma Bibliothèque » Les Secrets de la communication

Warning : MET en application le livre. Mieux vaut lire 20% du livre et appliquer 100% que lire 100% et appliquer rien du tout ! 

 

Introduction & contexte du livre 

 

Ce livre a été écrit en 1981 par Richard Bandler et John Grinder, les deux fondateurs de la PNL. Le titre original est “Frogs into Princess”. Qui une fois de plus est plus drôle et plus métaphorique que “Les secrets de la communication”. Mais bon. 

 

Ce livre est le compte-rendu réalisé à partir d’enregistrement d’un stage animé par Richard Bandler et John Grinder.

 

Voilà pourquoi les auteurs mettent en garde : le lecteur doit comprendre que ce livre n’est que du langage verbal. Ils mettent au défi le lecteur d’imaginer une session qui se déroule lors d’un événement. Le Para verbal et la gestuelle ne sont pas présents dans le livre (de par sa forme). De plus, Bandler et Grinder racontent des histoires en fonction des membres du public, de leurs questions, de leur façon de réagir. Ils jouent avec les différentes strates de la communication. 

 

Ton intérêt à regarder cet article/ regarder cette vidéo : tu vas comprendre rapidement si ce livre est fait pour toi, si oui, court vite l’acheter ! Si ce livre n’est pas fait pour toi, tu auras gagné du temps et économisé de l’argent. 

Un autre intérêt pour toi : chiper des astuces au cas où tu sois impatient d’acheter le livre ! Je te mettrai un lien pour télécharger un pdf avec des astuces. 

 

Prêt ? On y va ! 

 

Comment le livre est structuré ? 

 

Voici les noms des chapitres de ce livre :

 

Secrets récemment découverts

Les formes cachées du langage

Capter l’autre

Réalité intérieure et réalité extérieure

Démanteler le problème

S’entraîner à intervenir

Etablir un rapport avec l’autre

Ancrer pour changer

Employer les ancres

Varier l’emploi des ancres

Modifier son histoire personnelle

Se défaire d’une phobie

Orienter le changement

Intégrer les multiples personnalités

S’allier avec son inconscient

Franchir les obstacles au changement

Découvrir ses ressources cachées

Transformer un désavantage en avantage

Changer sans souffrir

L’hypnose simple

Réaliser ce qu’on désire 

 

Le livre est vraiment trop dense pour pouvoir en faire un résumé “classique”. Je vais donc te présenter quelques techniques issues de ce livre. J’espère te donner envie de l’acheter ! 

 

Observer les réactions non verbales

 

Les gens utilisent un système de représentation pour communiquer. Tu peux repérer une myriade d’indices pour savoir quel est le système de représentation utilisé à un instant T.

Une des astuces est d’observer attentivement le regard de ton interlocuteur.

Et tu verras que lorsque tu lui poses des questions, il va avoir des accès oculaires avant de répondre à la question. C’est-à-dire que ses yeux vont bouger dans une ou plusieurs directions avant de répondre à la question.

Richard et John se sont intéressés à poser des questions précises afin de pouvoir observer ces accès. 

 

Si la personne est en monologue intérieur alors elle regardera en bas à droite lorsque tu es en face d’elle.

Si elle se souvient d’une image visuelle, elle aura tendance à aller en haut et à droite. 

Dans ce chapitre, Bandler et Grinder donnent des questions clés afin de pouvoir repérer attentivement ces mouvements. 

Quelle est la couleur des yeux de ton père ?” 

Est une question qui recherche activement un accès visuel remémoré de la part de ton interlocuteur. 

Quelle serait votre apparence si vous aviez des rastas ?” (et que la personne n’en a pas !) 

est une question qui recherche activement une visualisation construite. 

 

Ensuite ils donnent d’autres astuces si jamais ton interlocuteur n’arrive pas à accéder à l’information. Parfois il arrive que certaines personnes contrôlent  pour ne pas avoir d’accès oculaire. Dans ce cas, on va utiliser une astuce :  augmenter la difficulté de répondre aux questions. Un exemple concret : 

Lorsque tu regardes un feu de signalisation pour voiture, où se situe le feu de couleur rouge ? En haut, au milieu ou en bas ?” 

 

Grâce à cette astuce, la personne sera presque forcée d’avoir un accès visuel remémoré.  Car la représentation visuelle qu’on lui demande d’accéder est plus complexe à obtenir qu’une simple couleur d’un objet.

 

Une autre astuce est de faire comparer des couleurs, un exemple : 

De quelle couleur sont les yeux de ton père ?” 

puis

de quelle couleur sont les yeux de ta mère ?

 si jamais les deux réponses sont “marron”, alors on va poser la question : 

Lequel des deux à les yeux plus foncés que l’autre ?” 

 

La personne devra visualiser dans un premier temps les yeux de son père, puis dans un second temps les yeux de sa mère. Puis enfin comparer les deux informations, c’est-à-dire lequel a les yeux plus clair ou plus foncés que l’autre.

 

Ensuite il donne leur avis sur les gens ambidextre, les gauchers, les droitiers. Car un stagiaire demande si cela influence les accès oculaires. La réponse est… dans le livre. Va l’acheter ! 

 

“Epurer” une stratégie. 

NOTE : ce passage est destiné à des intermédiaires ou experts en PNL. Si tu débutes, apprends ce qu’est déjà une stratégie et apprends à les extraire. Puis dès que tu seras à l’aise avec cela, tu pourras passer  à cette étape. 

 

Si tu désires savoir ce qu’est une stratégie je t’invite à lire cet article.

 

Une des techniques de Richard Bandler est d’écrire une stratégie de son client.

Ensuite, il examine la stratégie en question, il va pouvoir l’élaguer.

 c’est-à-dire qu’il va repérer les morceaux de la stratégie qui ne sont pas utiles et va pouvoir les supprimer. 

Le résultat est que la personne va avoir une stratégie simplifiée et plus efficace. 

 

Cela fera gagner beaucoup de temps à la personne qui réintégrera la nouvelle stratégie.

Un exemple concret : 

 

Ton client voudrait accélérer son passage à l’action.

Tu vas lui poser des questions précises afin d’obtenir sa stratégie de passage à l’action.  disons qu’elle ressemble à cela : 

Dans un premier temps, ton client visualise une action qu’il aimerait faire. 

Puis dans un second temps il part en monologue intérieur afin de savoir si c’est une bonne action.  

Il continue son monologue intérieur en se demandant combien de temps va prendre l’action en question. 

Si c’est supérieur à 2 minutes, alors il va se dire : “ça va c’est pas trop long, je pourrai le faire”. 

Puis il va se poser la question de l’action d’après.  

Puis il va se poser la question de combien de temps prend cette action.  

Ensuite il va comparer le temps d’action de la deuxième action avec le temps d’action de la première action.  

Si la deuxième action prend moins de temps que la première action alors il va la faire en premier.  

Si jamais la deuxième action prend plus de temps alors il la fera en seconde.  

Et enfin il se met en action. 

 

Et bien cette stratégie est tout à fait honorable, cependant il pourrait l’améliorer : car le temps qu’il traite les informations il aurait probablement déjà terminé la première action ! 

 

Voilà comment on pourrait épurer cette stratégie : 

Dans un premier temps, ton client visualise une action qu’il aimerait faire. 

Puis dans un second temps il part en monologue intérieur afin de savoir si c’est une bonne action.  

Il continue son monologue intérieur en se demandant combien de temps va prendre l’action en question. 

Si c’est supérieur à 2 minutes, alors il va se dire : “ça sera vite fait, aller GO”.

Et il se met en action.  

 

Grâce à cela, il peut intégrer une nouvelle stratégie plus rapide et plus efficace ! 

 

Parler et traduire le langage de l’autre 

 

Cette “technique” s’appelle le glissement de sens, ou encore le “chevauchement” de sens. 

Petit rappel : il y a 5 systèmes de représentation : visuel, auditif, kinesthésique, olfactif et gustatif. 

 

Cette technique était utilisée par Virginia Satir pour faire comprendre aux deux personnes dans un couple le problème de l’autre. 

 

Exemple : un couple vient en cabinet. Le mari se plaint car il “n’a pas le droit de se détendre et de se mettre à l’aise en arrivant”. Car sa femme se plaint, elle, que “c’est le bazar et qu’il laisse des affaires partout dans la maison, et que c’est moche”. 

 

détendre = kinesthésique

se mettre à l’aise = kinesthésique

 

il laisse des affaires partout = visuel 

c’est moche = visuel 

 

Le thérapeute peut alors dire à l’homme : “Imaginez que votre femme mange dans le lit des gâteaux. Et quand vous voulez vous détendre dans le lit, tranquillement, vous sentez sous votre dos des miettes qui vous grattent le dos”. 

 

Elle traduit une réalité visuelle par une réalité kinesthésique, pour que le mari saisisse le problème du point de vue corporel. Puisqu’ il semblerait qu’il fonctionne plus sur ce mode que sur le mode visuel. 

 

Tu es accompagnant et ton client “résiste” ? 

 

Dans un premier temps, il raconte l’histoire d’un colonel à la retraite. Il explique que ce colonel désirait avoir raison tout le temps et en toute circonstances. Et qu’une des techniques pour ce genre de personne, et de lui dire : “je suis d’accord avec vous”.

Puisqu’il s’oppose à n’importe quel point de vue qui ne va pas dans la même direction que le sien.

Il a l’habitude de s’opposer encore et encore jusqu’à ce que l’autre personne aille dans son sens. Une des manières les plus intelligentes d’interagir avec ce genre de personne, c’est justement de ne surtout pas s’opposer. Et de dire “je suis d’accord avec vous”. Cela déboussole complètement la personne qui aimerait être en opposition !

 

Ensuite il parle de la fameuse “résistance” des clients en cabinet de consultation.

 

Il explique que ce que ne comprennent pas les thérapeutes c’est que lorsqu’ils disent “mon client résiste”,  ils parlent en fait de leur problème de comportement. Et de leur rigidité. 

Car si on y réfléchit bien, on résiste à une intervention. On résiste à quelque chose. 

Et le meilleur conseil qu’il donne c’est que si on a l’impression qu’un client résiste alors il faut assouplir sa façon de procéder avec lui. Puis emprunter une autre direction.

 

car si tu continues encore et encore de faire la même chose alors tu obtiendras le même résultat encore et encore. 

 

Des questions magiques 

 

Bandler et Grinder expliquent comment ils posent des questions. 

Ils utilisent une méthodologie particulière, tu peux aller lire cet article pour en savoir plus ! 

 

Un exemple : si un client te dit : “mon oncle me terrorise”. 

Car avant cette question, on est aveugle : l’oncle terrorise en faisant quoi précisément ? Il braque un calibre sur le front du client ? Il le regarde en le fixant des yeux sans rien dire ? Il le menace verbalement ? 

On ne peut pas le savoir ! 

 

Alors tu vas lui poser la question : “comment est-ce que votre oncle vous terrorise ?”

En posant cette question, on veut découvrir le processus par lequel passe ton client pour être terrorisé. 

Puis être très attentif à toutes les indications : si le client lève les yeux en accès visuel remémoré, alors c’est probablement un déclencheur visuel qui sera en jeu. 

 

Ethique, limite et répertoire d’interventions 

 

Bandler et Grinder parlent dans ce chapitre de la notion de cadre, de déontologie, d’éthique. 

 

Voici leur point de vue : la déontologie est un cadre qui est limitant. Ceux qui en ont veulent bien faire, et respecter des codes. Et c’est une excellente chose…mais qui limite le champ d’action des accompagnants. 

 

Dès que vous dites “je ne ferai pas cela” alors vous excluez une partie de client que vous ne pourrez pas aider. 

 

Il donne un exemple d’un thérapeute un peu particulier : Franck Farrelly. 

Il ne se donnait aucune limite pour rentrer en relation avec un client. 

 

Un jour, Franck Farrelly visite une personne catatonique depuis 4 ans. Il l’a regardé et lui a dit : “je vais gagner !” elle ne réagit pas. 

Il tend le bras et lui saisit un poil au niveau de la cheville. Et lui arrache. Elle ne réagit pas. 

Il lui tire un poil deux centimètres plus haut. Elle ne réagit pas. Il lui arrache un troisième poil deux centimètres plus haut. Elle réagit : “bas les pattes !” 

Pour beaucoup de thérapeutes cette attitude aurait été un manque de déontologie. Mais il n’aurait pas eu un centième des résultats de Franck Farrelly. 

 

Ils parlent ensuite de John Roser qui embrassait les réalités de patients schizophrènes pour les détruire de l’intérieur. 

 

Contenu VS processus 

 

Bandler et Grinder parlent dans ce chapitre du langage. D’une forme de langage particulière : le contenu vague. 

 

Ils affirment que l’on peut guider un client de manière précise au niveau du processus, tout en restant vague au niveau de la forme. Comment cela fonctionne ? 

On va utiliser principalement des nominalisations. Va lire cet article si tu veux en savoir plus sur ce que sont les nominalisations. 

Un exemple : 

Je suis certain que tu as déjà vécu un événement émotionnellement fort dans un premier temps, mais qui t’as aidé plus tard dans ta vie. Comme si tu avais pu apprendre une leçon, ou même plusieurs, à la suite de cet événement. 

Puis, par la suite, cette leçon t’a permis d’avancer dans la vie. 

Dès lors, la prochaine fois où il t’arrivera un événement douloureux, je voudrais que tu prennes du recul, et que tu te demandes : “quelle leçon je pourrais tirer de cet événement, aussi douloureux soit-il ?”. 

 

C’est juste un exemple ! Mais cela illustre comment on peut guider un client sans avoir du contenu précis. C’est comme si tu donnais : 

Etape 1

Etape 2

Etape 3

Etape 4, 

et l’enchaînement de ces étapes sont du sens, mais on ne connaît pas le contenu des “boîtes” qui composent les étapes 1 à 4. 

 

C’est un des modèles (parmi tant d’autres) que pouvait utiliser Milton Erickson pour guider ses clients. 

On peut faire une séance magnifique en utilisant ce procédé. (Evidemment, il a ses limites). 

Voilà pourquoi Bandler et Grinder prétendent que l’hypnose ericksonienne est beaucoup moins manipulatrice que les autres formes de thérapie. Car on peut guider une personne sans l’influencer sur le contenu, sans projeter nos valeurs et nos convictions. 

 

Un symptôme est un signal 

 

Ils considèrent que chaque symptôme est un signal. Un signal qui veut délivrer un message.

De ce fait, lorsque  tu changes un comportement chez un client, assure-toi des avantages secondaires potentiels du comportement qu’il désire changer.

Car ses avantages peuvent satisfaire une ou plusieurs parties de lui.

Si ses parties se sentent lésées, alors le comportement pourrait refaire surface dans un avenir proche. 

 

Protocole du recadrage (“en 6 étapes”)

 

Ici, les auteurs nous présentent un protocole qui va utiliser l’hypnose. On peut très bien l’utiliser de manière consciente mais l’efficacité sera décuplée en utilisant des signalings. 

 

  1.  Identifier le comportement a changer
  2.  Établir une communication avec la partie qui génère ce comportement
  1. bis :  poser un signal oui ou non

3.bis : demander à cette partie l’intention positive de ce comportement

  1. Établir une communication avec une partie créative
  2. Demander à cette partie créative de générer de nouveaux comportements 
  3. Installer le nouveau comportement
  4. Vérifier l’accord de toutes les parties en jeu 

 

Mon avis sur ce protocole : je l’ai beaucoup utilisé en cabinet avec des clients. Et même pour moi-même en auto-hypnose ! 

C’est un protocole très intéressant. Car il permet une connexion avec son inconscient. Juste cela est en général thérapeutique ! Car la personne se rend compte qu’elle est capable, qu’elle a des ressources qu’elle n’imagine même pas. 

Il permet l’expression de la créativité chez le client ! ça aussi est thérapeutique ! 

Et il permet un travail à un niveau inconscient. Cela signifie que son inconscient va trouver des nouveaux comportements, les installer. La personne peut être sceptique ou très interloquée car elle aura l’impression de “n’avoir rien fait”. 

Je te conseille vivement d’utiliser des signaux idéomoteurs (lévitation, signaux oui / non de la tête ou des bras) car cela fera office de “preuve” chez les clients sceptiques. 

 

En revanche, tu devras à minimum connaître les bases de l’hypnose et des inductions. MAis cela se fait facilement. 

 

A qui est destiné ce livre ? 

 

Je conseille ce livre en priorité à tous les hypnothérapeutes, praticiens en hypnose. 

 

Je conseille ce livre aux thérapeutes, psychothérapeutes ouverts d’esprit et curieux.

 

Ce livre est abordable aux débutants en PNL (même si un peu compliqué parfois) comme aux confirmés en PNL. 

 

A qui n’est PAS destiné ce livre ? 

 

Je déconseille ce livre à ceux qui ont une dent contre la PNL. 

 

Je déconseille ce livre aux sceptiques de l’hypnose et des thérapies brèves. 

 

Je déconseille ce livre à ceux qui se sont trop identifiés à un courant : si tu ne jure que par l’Analyse Transactionnelle, ou une autre approche par exemple. 

 

Leçons principales du livre 

 

Première leçon : tous les individus ont les ressources à l’intérieur d’eux qui leur permettent de changer. Si tu es accompagnant, tu es juste là pour les faire se connecter avec ces ressources. Tu n’apporte pas de matière. Tu agis au niveau des processus, pas au niveau du contenu. 

 

Deuxième leçon : mieux vaut agir au niveau de la forme que du fond. C’est-à-dire que tu vas repérer comment le problème s’articule au niveau de son processus, pas au niveau de son contenu. Tu peux utiliser, entre autres, les accès oculaires pour cela. Repérer que pour avoir peur, le client va passer par 1) un accès visuel, 2) un dialogue intérieur, puis 3) l’émotion de peur s’active. A partir de cela, tu peux transformer le processus à l’aide des stratégies et des sous modalités par exemple. 

 

Troisième leçon : l’inconscient est composé (métaphoriquement ?) de “parties”. Chaque partie à des fonctions et maintiennent des comportements. Pour changer des comportements non désirés, on peut faire appel à ces parties et dialoguer avec elles. Cela permet de changer en souplesse et de façon créative. 

 

Quatrième leçon : la technique de questionnement basée sur le méta modèle™ est à la base de tout ce que font Richard Bandler et John Grinder. C’est un socle de base sur lequel ils viennent ajouter d’autres techniques (des stratégies, des sous modalités, des protocoles…) 

 

Cinquième leçon : la souplesse est supérieure à la force. Si tu es accompagnant (et cela est valable dans la vie aussi), développe une approche flexible. Si quelque chose ne fonctionne pas, tente une autre approche. Et répète ce procédé à l’infini ! Dans ce genre de métiers, mieux vaut préférer obtenir un résultat plutôt que “d’avoir raison”. Avoir raison ne rend pas heureux. Obtenir des résultats pour toi et tes clients, bien plus 😉 

 

Les points forts du livre 

 

  1. Son prix : 8€ pour apprendre des astuces, c’est scandaleux que ce soit aussi peu cher. 

 

  1. La profondeur du livre : ce livre a différents degrés de profondeur : c’est un des tout premiers livres que j’avais acheté quand je me suis intéressé à la psychologie humaine ( cela fait plus de 12 ans maintenant). Et je me souviens avoir énormément apprécié ce livre et avoir appris beaucoup. Mais maintenant avec plus de 12 ans d’expérience dans ce domaine,  j’arrive à voir des sous-tiroirs que je ne pouvais pas comprendre à l’époque… 

 

  1. Ils donnent des astuces, ÉNORMÉMENT D’ASTUCES !  

 

  1. Le livre aborde beaucoup l’hypnose. Il fait le lien entre la PNL et l’hypnose ! C’est-à -dire, comment concrètement utiliser ces deux merveilleux outils en même temps. 

 

Les points faibles de livre 

 

  1. Décousu : plein de sujets intéressants, mais il n’y a pas vraiment de cohérence ou de ligne directrice. 

 

  1. Même s’ils le disent, ce livre est…un livre. Et il manque la tonalité de la voix, les regards, les mimiques… donc parfois il sera difficile pour les débutants de comprendre ce que font Bandler et Grinder. Car ils communiquent et jouent avec le langage, les métaphores, les questions ET aussi les stagiaires qui sont avec eux ! Donc parfois on peut prendre pour soi des phrases alors qu’elles n’étaient que des suggestions masquées destinées aux stagiaires. 

 

  1. Ils donnent des astuces, ÉNORMÉMENT D’ASTUCES !  Ça pourrait devenir un point faible si tu ne comprends pas que l’acquisition des concepts va prendre plusieurs mois au minimum (pour ne pas dire plusieurs années…). Donc STP, si tu es débutant, ne te met pas la pression pour savoir faire rapidement ce que B. et G font. Car 1) ce sont des acharnés de travail, et 2) ils ont été en lien avec Erickson, Satir… donc ont eu des modèles exceptionnels “à disposition”. 

 

  1. Si jamais tu n’as aucune notion en hypnose, cela te pénalisera. Car tu ne comprendras pas certaines suggestions masquées.

    Et enfin, si tu désires te former en PNL, voici toutes les formations disponibles :